A chaque numéro, l'invité décide des contenus des articles et choisi un artiste qui revisitera le logo du magazine.
Le logo a donc une version permanente simple en plus d'une version différente pendant chaque numero.

L'invité choisi trois thèmes qui feront l'objet de trois parties.
Chaque partie est reliée en un cahier, le magazine complet compte alors cinq cahiers reliés les uns à côté des autres (en ajoutant aux trois parties
un cahier de rubriquage et un cahier d'ouverture.)
On retrouve entre chaque cahier des marque pages détachables en rapport avec un artiste présenté.

Le magazine est aussi présent sur la toile.
Le site lui aussi est en trois parties: il présente le numéro en cours, ainsi que les précédents; il présente d'autres travaux d'artistes régulièrement sous forme de blog; et enfin il permet à l'internaute de se créer un compte pour pouvoir enregistrer et classer ses propres bookmarks: ses propres références.

Le concept du site est repris dans une application smartphone pour pouvoir consulter et actualiser sa bibliothèque de bookmarks à tout moment.

Affiches et annonces pressses pour faire connaître le magazine.
Comme la couverture du magazine, la publicité reprend le marque page avec le logo, posé sur un visuel. Le marque page permet voir la photo autrement, nous inspire...

Pour faire parler de lui lors de son lancement, le magazine créé l'événement.
Le motif utilisé pour revisiter le logo dans le premier numero est projeté sur la BNF.

Le nom du magazine, bkmk, vient de "bookmark" qui est le mot anglais pour un marque page papier qu'on insère dans un livre mais aussi pour
les liens des pages internet qu'on enregistre pour les retrouver plus tard.